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JE FRAPPE A LA PORTE



Je frappe à la porte, Julie ouvre avec un grand sourire, elle m’attrape par le col et m’embrasse, sa langue entre, non veut entrer, je ne la laisse pas, pas tout de suite, je ne suis pas un godemichet, au moins boire un verre avant, mais je crois qu’elle s’est excitée toute seule et qu’elle n’en peut plus. Elle essaye d’ouvrir la braguette bicolore que je viens d’acheter, elle ne l’a même pas regardée, mais elle n’y arrivera pas, j’ai mis un système souri, si elle insiste, elle va se prendre une bourre et je n’y serais pas pour rien. Elle me plaque contre la porte pour la refermer sans doute. Je fais très fort le son d’une poupée qui se dégonfle, elle s’écarte mais elle ne comprend pas tout de suite. Qu’est-ce que t’as encore, dit-elle, il y a que je ne suis pas juste une bite. Arrête de toujours geindre, il y a des tonnes de mecs qui donneraient une couille pour toucher ça, elle glisse ma main sous son pull, elle a des seins sublimes, il faut le reconnaître et cette scélérate de queue qui bande, je gonfle sous ses doigts, elle dit tu vois, avec un air qui m’énerve, mais l’homme prend le pas sur moi, elle le sais bien qu’il suffit de réveiller le cro-magnon pour que le vît se dresse. Elle s’agenouille brusquement, pose ses lèvres sur mon sexe, elle le mordille à travers le pantalon, elle dit, elle est belle ta bicolore, la salope elle sait parler aux hommes, je lui caresse les cheveux, mes mains vont vers ses seins, on se retrouve vite sur le tapis, elle commence à me déshabiller, à moitié juchée sur moi. Je me dresse, enfin juste la tête, je ne peux bouger que ça : tu veux pas me laisser arriver  ? dis-je. Ce que tu peux être chiant, elle me prend le visage entre les mains, tu veux pas que je te dise je t’aime non plus ? Non, je veux juste pourvoir accéder au salon et boire un verre. Mais les autres vont arriver. Tu as invité des gens ? Ce coup-ci je me lève presque à la faire trébucher. Ben oui et alors, tu voulais quoi qu’on se regarde dans le blanc du cul toute la soirée ? On va rater l’orgasme si on continue. J’essaye de me décrocher d’elle mais ils sont deux, elle et la bestiole à ne pas vouloir se détacher de cette peau qui sent bon, c’est vrai. Je suis le nez dans son cou, elle dit doucement, ne t’emballe pas, elle est vraiment gonflée. Elle me manœuvre et moi je fais les gestes qu’elle me suggère, parce que ça procure encore plus de plaisir, mais je dois faire attention à ce quelle ne jouisse pas trop vite, au moins qu’on y arrive ensemble. Trop tard, elle me plante ses ongles dans le dos, rugit dans mes oreilles, serre les dents en même temps, ça y est , elle a jouit. Je sais ce qu’elle va faire. Elle se détache de moi, sans se rendre compte, ou en s’en foutant, que je bande encore, que je n’étais pas loin du but, elle se retourne et en quelques instant s’endort. Je sais que ce n’est pas la peine d’essayer de la réveiller, je me ferais engueuler, au mieux elle se mettrait à m’astiquer en faisant bien exprès d’y mettre la pire volonté pour finalement dire que je mets trois plombes à venir. Heureusement ça sonne à la porte et j’ai une raison de la secouer pas vraiment tendrement.